Sommaire :
1) Introduction
2) l'histoire d'une évasion
3) Conclusion
4) sources
1)Introduction
Paul Bertin était le chef du FFI de St Maximin. Donc c'était
une personne importante dans notre région.
2)l'histoire d'une évasion
Le traître :
Hugo Bummume était un allemand. Son nom de code était
Hugo Smith. Il s'était introduit dans la résistance
à St Maximin. Dès qu'il connu les coins importants,
il devint le chef de la milice de Draguignan et fit arrêter
Paul Bertin.
Arrestation et tortures :
Un jour Paul Bertin était dans son champ et entendit des
coups de feu. Il vit des Allemands arriver et se fit arrêté.
Dès qu'il arriva l'interrogatoire commença. Ils
le mirent dans une baignoire de glaçons. Dès que
les glaçons fondaient, ils en "remettaient".
Mais il ne parlait toujours pas. Alors ils le mirent dans une
salle et lui donnèrent des coups de bâtons et le
mirent dans sa cellule tout nu pour qu'il ne s'étrangle
pas avec ses vêtements.
La préparation de l'évasion :
Il cassa son lit et mit des planches sous la lucarne. Il grimpa
dessus, car le débarquement sur la côte devait avoir
lieu ce jour là. Mais il eut lieu deux jours plus tard.
Un Allemand lui apporta à manger et lui dit qu'il serait
fusillé le soir même. Le garde lui avait laissé
par erreur son canif. Il se le planta à deux reprises dans
la région du coeur. Comme il ne mourrait pas assez vite
il s'ouvrit les veines du poignet.
Quand le garde le vit baigner dans son sang, il appela le général
qui lui même appela l'ambulance et il disait "capoute
capoute". Ce qui signifie : "Il est foutu."
De l'infirmerie à la liberté :
Une semaine après, il apprit qu'il allait s'évader
et qu'à 9 heures quatre hommes viendraient le chercher.
Il lui donnèrent un flingué (il pourrait ainsi se
tuer plus vite). A une heure près les allemands l'auraient
fusillé.
3) L'évasion :
Ils tombèrent en panne devant une gendarmerie. Il faut
dire que la voiture utilisée n'avait pas roulé depuis
plusieurs années. Il réussirent à passer
sur un pont que les résistants avaient fait sauter la veille.
Ensuite il passa 15 jours dans un camp au bord du Verdon et il
alla rejoindre sa famille. Paul Bertin mourut quelque temps plus
tard des suites de ses blessures.