LE REVE REFRAIN
Laisse la lumière allumée Viens encore m'embrasser S'il te plaît raconte une histoire J'ai peur du noir Ferme les yeux et tu verras Un ours bleu en pyjama Une fanfare de fourmis En marche vers la galaxie, Alors tu pourras t' envoler Jusqu'à l'étoile du berger REF Ferme les yeux et tu verras Une grenouille à petits pois, Roulé dans un carrosse en or, A la recherche d'un trésor, Tandis qu' un ours ébouriffé, Te dira où il est caché REF Ferme les yeux et tu verras Toute une ville en chocolat Où les fontaines t'offriront , Du jus d'orange et de citron, Tu danseras jusqu'au matin Avec Guignol et Arlequin.
MON ETABLE
Je rentre dans mon étable Pour tirer mon vache Pas capable de tirer mon vache Je prends un tabouret Pour tirer mon vache Pas capable de tirer mon vache Je prends une bouse de vache J'me la mets en pleine face J'ai les yeux tout barbouillés Et un grand bol (sclups) chocolaté (bis) O yé !
BON APPETIT
Bon appétit titi La tati la tatom tomtom Bon appétit Bon appétit ého Bon appétit titi La tati la tatom tomtom Bon appétit Bon appétit Bon appétit merci
FARWEST
Au farwest (bis) Y'a d'la bière (bis) Du bon whisky (bis) De belles serveuses(bis) Les cow-boys(bis) Ca picole(bis) Et puis ça tire(bis) Sur les pianistes(bis) REFRAIN Je suis un gars du farwest Qui aime les chevaux La bière et le rodéo ,éo,éo Ma liberté c'est l'farwest Ma chance c'est le lasso Ma chance c'est le rodéo ,éo ,éo De bon matin Sur le chemin J'ai rencontré Le roi titi BIS Il m'a donné De quoi fumer Et j'ai compris Qu'il voulait la paix REFRAIN Et si un jour Je monte au ciel J'emporterai Mon vieux banjo BIS Et si le bon dieu Me demande Qui je suis Je lui dirai REFRAIN
LAISSE TOMBER LA NEIGE
{Laisse tomber la neige {Elle ne fait pas de bruit ( fois 3) Laisse, laisse, laisse, laisse tomber (fois 4) Elle ne fait pas de bruit (fois 1)
AKE TOUME
Aké tou mé tou mé pa pa} Aké tou mé tou mé pa } (fois 2) Tou tou yé tou tou yé pa pa Tou tou yé tou tou yé pa (fois 2) Yé la, yé la, yé la, yé (fois 2)
A ST JULIEN (celle -ci nous l'avons inventée !)
Nous sommes arrivés un matin, à St Julien Nous étions contents D'être ici Pour aller faire du ski C'était un plaisir, de découvrir Ce nouveau paysage, tout blanc et sans nuage REFRAIN Et lorsque nous partirons Nos yeux seront pleins de larmes et nous pleurerons Et nos animateurs nous manqueront Ils seront là toujours pour nous Nous avons passé le séjour A s'amuser C'est bien regrettable De quitter Ces moments agréables Tous nos souvenirs seront partagés Avec toutes les personnes que nous avons aimées.
le crocodile
Le crocodile il est malade il a mangé trop de salade...tulututu le crocodile il est malade il a mangé trop de salade
Il est vraiment phénoménal.
Il est vraiment (bis) Il est vraiment phénomenal lalalalalalalalalala Il meriterait (bis) Il meriterait d'être dans le journal lalalalalalalalalala Dans le journal (bis) dans le journal de St Julien.
La bataille de Rèchnouffeun
C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavalier chargez, attention cavaliers chargez : une main C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavalier charger, attention cavaliers chargez : une main, deux mains C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavaliers charger, attention cavaliers chargez : une main, deux mains, un pied C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavaliers charger, attention cavaliers chargez : une main, deux mains, un pied, deux pieds C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavaliers charger, attention cavaliers chargez : une main, deux mains, un pied, deux pieds, la tête C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavaliers charger, attention cavaliers chargez : une main, deux mains, un pied, deux pieds, la tête, les fesses C'était un soir la bataille de Rèchnouffeun, il fallait voir les cavaliers charger, attention cavaliers reposez
La fleur
Il avait une fleur entre les dents (bis) Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents. Et quand il embarquait par mauvais temps Il nous disait : nous on a pas de cimetière on a la mer Les femmes ne pleuraient pas Mais elles joignaient seulement leurs mains Les hommes ne disaient rien Mais ils pensaient : nous on a pas de cimetière on a la mer Et quand la vague un jour nous ramena une fleur on a compris qu'il nous laissait battre son coeur.